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Mes lectures à haute voix + Presse
"Ma parole est donnée"Lectures à haute voix
J'ai depuis 2013 commencé à porter à haute voix des textes forts, à la résonance humaniste.
Dans un cycle que j'ai appelé "Ma Parole est donnée".
Où je me fais "Passeur Vocal"
Sobre et pudique, je viens en "Homme debout", en Homme qui vient de la Cité, porter des mots qui bousculent, qui dérangent, qui "élèvent".
Je suis debout, face à mon pupitre. Ma sobriété est chorégraphiée, mise en scène, et entraîne le public dans une "focale de concentration", porteuse de grande émotion et d'oubli du temps.
Au service de la Vibration des mots, de leur "Présence"."L'Intranquille" de Gérard Garouste et Judith Perrignon"Une cicatrice comme une autre" (à partir des écrits d'Eva Thomas)
"La genèse du surhomme" d'après les écrits de Satprem.
"En finir avec Eddy Bellegueule "d'Edouard Louis
"Le cri de Nina" d'Annie Saby
"Les faibles et les forts" de Judith Perrignon
"Journal d'une prostate de chambre ou le Mythe de Zi-Ziphe, de Benoît Olivier
"Qui a tué mon père" d'Edouard Louis
"Ray Bradburry, un visionnaire"
(Compilation de plusieurs œuvres de Ray Bradburry, qui nous parle d"Un monde d'Après")
"Combats et métamorphoses d'une femme" d'Edouard Louis
Des Actions Culturelles (Formations, Interventions sur la lecture à Haute Voix) sont souvent menées en parallèle des représentations.
Pour me contacter: benoit.olivier9@free.fr
06.67.06.14.15.
Quelques articles
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Commentaires
1Philippe M.Lundi 7 Novembre 2016 à 21:22Benoit OLIVIER lecteur, et les livres portés par la voix de Benoît Olivier sont des chocs telluriques. Je suis attentif, je suis ému, comme rarement. Je ne bouge plus, mes oreilles sont grandes ouvertes, et mon cœur vibre. Que doit cela vient-t-'l? Est-ce que l'œuvre de Benoît Olivier est une "Œuvre Chamanique"? En tout cas, que j'aime écouter les mots lus à haute voix! Et par Benoit Olivier en particulier!Répondre2sabMercredi 9 Novembre 2016 à 13:54Les lectures de Benoit Olivier traitent de sujets de société. Et c'est ce qui me plait. Etre "un passeur vocal" a un autre impact. Même si parfois je connais déjà le livre, entendre les mots permet encore une autre interprétation. Découvrir les coupes qui ont été faites, l'intention qui est donnée par le lecteur qui est devant nous, apporte une autre dimension au texte. Mettre en voix des écrits est un pari difficile mais Benoit Olivier y parvient avec brio. Jolie réussite, bravo et longue vie à ses lectures!
3MatthJeudi 10 Novembre 2016 à 08:15J'ai eu l'occasion d'écouter Benoît à la faculté de Lyon. J'avais eu soin de lire le récit de l'intranquille en amont. A la lecture, j'ai eu l'impression d'avoir Monsieur Garouste en face de moi. Merci pour les frissons, ton timbre de voix, ta plongée dans ce magnifique projet m'a transporté dans la réalité et l'irréalité de ce peintre d'un immense talent.
4SimonDimanche 4 Décembre 2016 à 18:05J'ai assisté récemment aux lectures d' "En finir avec Eddy Bellegueule" et "L'Intranquille" par Benoît Olivier. Magnifique ! Pendant près d'une heure et demi, Benoît donne sa voix puissante et métallique pour incarner ces destins chahutés. Ses lectures sont physiques, soutenues, et leur rythme aéré et intelligent met en relief ces textes. La parole est nette : Benoît assume chaque mot et chacune des épreuves de la vie de ces auteurs. J'y vois plus clair et je ressors grandi !
5ElisaMercredi 7 Décembre 2016 à 21:19J'ai été très intéressée, captivée à certains moments, par les lectures de Benoit auxquelles j'ai assisté récemment à la Tronche ( En finir avec Eddy Bellegueule) et à Echirolles ( le cri de Nina). J'avais parfois l'impression d'avoir en face de moi ce jeune garçon différent en butte à la haine des autres élèves, ou cette mère hurlant au fond d'elle.
La lecture à haute voix permet de donner vie à un texte .Et Benoit , quant à lui, a l'art de savoir lire à haute voix et de faire résonner en nous les mots écrits par un autre.
Bravo! Au plaisir de le retrouver lors d'une prochaine lecture.
Elisa
6RolKaLundi 16 Janvier 2017 à 10:45Même (surtout si) si on l'a déjà lue, il faut aller entendre l'histoire d'Eddy Bellegueule dite par Benoît Olivier. Des passages poignants, une densité incroyable, un ton juste qui fait qu'on ne décroche pas un instant (pas toujours évident pour des lectures). Ici on est surpris quand ça s'arrête de devoir déjà descendre là. Et on en redemande.
7GrimoireLundi 16 Janvier 2017 à 11:20Le livre d'Édouard Louis est un coup de poing, et la lecture de Benoît OLIVIER est une illumination. Je ne suis pas prêt d'oublier la soirée à La Guinguette. Être tenu en haleine pendant 1h30 en perdant la notion du temps… Benoît Olivier a une présence incroyable, et il nous emporte tous. G.8MoniqueLundi 16 Janvier 2017 à 17:11Merci Benoît pour ton cadeau de cette lecture vivante de "En finir avec Eddy Bellegueule" à La Guinguette. Nous sommes portés par le son de ta voix, ta présence sobre, ton regard. Chacun trouve sa place pour son voyage dans cet univers violent de l'enfance d'Édouard Louis. Par ton rythme, tu as su apporter les touches de lumière, de légèreté dans cette univers sombre. Plusieurs fois nous avons ri, relâchant ainsi la pression, nous sauvant à la fin par cette fuite bénéfique.9LaurenceJeudi 9 Février 2017 à 14:45Magnifique lecture hier soir à La Guinguette des Faibles et des Forts. Merci pour le choix de ce livre de Judith Pérignon. Comme pour "En finir avec Eddy Bellegueule" ou "L'Intranquille", cette nouvelle lecture est une réussite totale : le choix des coupes, l'intensité, la justesse et la sobriété du ton de Benoît Olivier. Tout est parfaitement dosé, mesuré et tout au service du texte. C'est captivant, touchant, pudique aussi et donc bouleversant. On en sort grandi. Bravo !!!
10Anne TMercredi 22 Mars 2017 à 09:28J'ai eu la chance ce dimanche (19 mars 2017) d' assister, à domicile, pour la deuxième fois, à la lecture de "La genèse du surhomme". En fait, je n'ai pas "assisté" au spectacle. Comme la trentaine d'autres personnes présentes, j'y ai participé. Pleinement. Notre voyage était guidé par la voix de Benoît, qui nous a accompagnés, dans la douceur et la profondeur, vers les impressions, paysages, et soudaines pépites de vérité de ce texte très singulier. Ayant subi l'épreuve des camps de concentration, l'auteur a recherché ce qui faisait l'essence de l'homme. La lecture de Benoît qui rassemble les personnes présentes est elle-même enrichie par la puissante mais subtile impression produite par les bols et autres sons de Daniela Fedeli. Cette association permet de ressentir ce que le texte tente de dire. Plus qu'avec l'énergie d'un spectacle distrayant, c'est avec la richesse du vrai voyageur que l'on ressort de cette expérience. Merci.11GeorgesJeudi 23 Mars 2017 à 13:17La genèse du surhomme, si vous êtes connectés yoga, méditation, spiritualité, c'est exceptionnel et à ne pas manquer. Une occasion unique de se laisser glisser sans effort dans la conscience de Satprem, Aurobindo, Mère, guider par la voix de Benoit et bercer aux sons de Daniéla on ne peut ressortir indemne de cette séance . Franchement réussir à offrir en partage ce texte est un exploit. Merci de tout cœur.
12NineDimanche 23 Avril 2017 à 10:48Ecouter la Genèse du surhomme, texte profond de Satprem, au travers de deux belles voix, celle de Daniela et celle de Benoit; c'est partir dans un voyage insolite, initiatique, plongée dans la délicieuse ambiance feutrée, ouatée des bols de cristal de Daniela.
Un beau moment, ne pas manquer cette lecture!
13Tessons&AmulettesJeudi 8 Novembre 2018 à 21:02"Qui a tué mon père"... Benoit Olivier se fait la voix d'Edouard Louis pour exprimer à son père tout l'amour qu'il a pour lui et qu'il a tu si longtemps.Voix tendre, chaleureuse. Une émotion juste et profonde. Et une ouverture vers d'autres compréhensions de ce livre très pudique, malgré tout...Du grand art. MERCI, Benoit !
14piney jeanJeudi 8 Novembre 2018 à 21:24Benoit ,
cet exercice de lecture à voix haute m'impressionne toujours.Ton interpretation fût merveilleuse car en fermant les yeux je ressentais la force des mots par ta lecture de ce texte si fort. Bravo encore en imaginant tous le travail en amont avant cette belle lecture.
15ChristineVendredi 9 Novembre 2018 à 06:38C’est avec beaucoup de plaisir que je suis allée écouter la lecture du dernier livre de Edouard Louis par Benoît Olivier ce mercredi 7 novembre et c’est avec beaucoup d’emotion Que j’ai découvert cette écriture...Benoit OLIVIER a trouvé « l’équilibre juste » entre émotion et légèreté.
Bon moment.16MoniqueVendredi 9 Novembre 2018 à 09:54Mercredi 7 novembre 2018, la librairie Decitre accueille plus de 80 personnes au rez de chaussée : impressionnant ! Des chaises sont rajoutées devant l'affluence des auditeurs pour leur permettre une écoute confortable. Depuis 2013 que Benoît Olivier est invité à l'automne par la librairie pour une lecture vivante d'un livre récent, "Qui a tué mon père " d'Édouard Louis, je n'avais jamais vu autant de monde !
Cette lecture intime des relations avec son père qu'Édouard Louis nous présentait dans "En finir avec Eddy Bellegueule" comme une brute haïssant son fils, nous présente des sentiments tout autres : une admiration, un amour pour son fils qu'il refoulait car trop proche de ce qu'il était plus jeune et qui avait été brimé par son père.
La lecture sobre à voix haute de Benoît éveille des émotions plus intenses que la lecture que j'ai faite seule de ce livre.
Merci Benoît pour tes qualités apportant cet éveil.
Merci à la librairie Decitre de nous accueillir ; entendre une lecture à voix haute au milieu de rayons de centaine de livres est magique ★☆★17ThérèseVendredi 9 Novembre 2018 à 11:26Mercredi 7 nov - J'ai assisté à ta lecture à voix haute du livre d'E. Louis "Qui a tué mon père". C'est un vrai plaisir de t'écouter et quelle émotion tu fais rejaillir en moi ! J'étais suspendue à tes paroles, à tes silences. Un grand merci pour ce moment de partage !
très belle lecture du livre " Qui a tué mon père " sans point !!
Benoit ,tu étais pleinement ,sincèrement ,émotionnellement le narrateur …. A quand une lecture à deux ? avec l’auteur !!!!
ou Olivier ?? clin d’oeil
signé le(a) schizophrène , avec une identité à deux prénoms
19R.EveVendredi 9 Novembre 2018 à 23:49Merci Benoît, pour ta lecture chez Decitre de "Qui a tué mon père". Un texte fort, que tu as merveilleusement servi avec l'élégance de ta voix.
20StéphaneSamedi 10 Novembre 2018 à 17:15Un beau moment d'écoute partagée autour du texte lu par Benoît. Salle comble, mais silence attentif autour d'un texte qui ne saurait laisser indifférent par sa teneur et ses parti-pris. Benoît joue l'équilibriste, prenant des risques mais sans y paraître, pour une lecture toute en retenue qui fait mouche, forcément. Bravo !
21BrigitteDimanche 11 Novembre 2018 à 18:50C'est le deuxième texte d'Edouard Louis que je découvre à travers Benoit, merveilleux passeur qui transporte toute l'assemblée venue l'écouter dans une émotion toujours aussi intense. Un grand merci pour ce moment suspendu.
22FrançoiseDimanche 11 Novembre 2018 à 20:40La lecture du texte d’Edouard Louis « qui a tué mon père « par Benoît est une réussite. C’est avec talent et sensibilité qu’iil donne voix à ce texte où se mêlent tendresse, incompréhension et révolte. La centaine de personnes présentes avait l’air conquises. Bravo !
23RégisDimanche 11 Novembre 2018 à 21:47Ne connaissant pas encore l'écriture d'Edouard Louis, je n'ai pu que faire le parallèle avec un autre magnifique auteur, aujourd'hui disparu : Jean-Luc Lagarce. Ils nous parlent tous deux de leurs histoires de famille et de leurs 'tentatives d'intimité' souvent incomprises, souvent avortées,qui les condamnent à garder pour eux tout ce qu'ils aimeraient pouvoir dire, tous ces secrets dont ils voudraient se défaire, qui les accablent et nourrissent incompréhensions et silences. Si, au début du roman, Edouard Louis adopte un style Lagarcien en faisant monter crescendo l'intensité dramatique, en revanche il passe à une écriture crue, incisive (Hein ? Ziziphe ?...
) et accusatrice dans la seconde partie : 'pourquoi faudrait-il taire leurs noms' ?
Le livre prend alors une tournure plus politique qui supplante l'analyse bouleversante de la relation père-fils qu'il nous a donné à lire dans la première partie. Un texte poignant. Un grand auteur qui s'annonce. Et...une excellente lecture palpitante avec un comédien hors pair : merci Benoît !
24MichèleMardi 13 Novembre 2018 à 14:02La lecture de" Qui a tué mon père" par Benoit Olivier fut une redécouverte de ce texte que j'avais lu; j'avais perçu la violence dans ce texte, la détresse des uns et des autres. Benoit les a animés aussi de tendresse. Le père, le f.ils et tous sont devenus plus humains
Merci.
25Sylviane TMercredi 14 Novembre 2018 à 22:21Benoît Olivier à lu mercredi 7 Novembre à la librairie Decitre "Qui a tué mon pére" de Édouard Louis à qui il vous une grande admiration et une belle fidélité. Comme une sorte de traverse de vie, en négatif surtout, mais avec des élans d'amour , entre violence et excés. Une histoire de corps pliant sous les coups de la politique. Un réquisitoire bousculant. Un texte ardemment servi, avec une chronologie bousculée, une forte radicalité, une puissance expressive, de la pudeur aussi. Une lecture périlleuse car le texte dérange, étreint, accuse, une lecture subtile, incarnée entre révélations honteuses et cris d'amour. Une lecture physique aussi, vécue intensément par un long ruban d'auditeurs, déployé entre des milliers de pages. Un grand moment d'écoute, sur la peine, sur la vie.26Mat LartaudJeudi 22 Novembre 2018 à 10:07Une Lecture sur le fil...Sensible Toujours...D'un texte irrigué d'une rare force Benoit Olivier fait parler les mots tout en contraste .. Et le texte que 'l'on découvre ou redécouvre prend une épaisseur qui résonne en nous avec une intensité diablement contagieuse !!!
Un passeur d'histoires et de mots de talent, C'est sur !! Et un très, très beau moment de librairie !!!
Merci Monsieur...
27Hélène LMercredi 28 Novembre 2018 à 11:03Un grand merci à Benoît de m'avoir fait découvrir ce beau et touchant texte d'Edouard Louis !
Toujours dans cette démarche, oh combien importante, de libérer la parole, à travers la lecture de Benoît, nous avons assisté à une belle et inattendue déclaration d'amour d'un fils à son père. Un livre intimiste qui s'ouvre pour finir sur une réflexion politique et sociétale.
Merci également à la librairie Decitre d'offrir ses lieux (même si personnellement, j'aurais apprécié être placée autrement que dans une disposition en couloir pour mieux apprécier ce genre de lecture ;)
28Érika et PascalSamedi 5 Octobre 2019 à 08:00On peut dire « Qu’on y était! », à la lecture de « Qui a tué mon père » à La Faïencerie le 4 Octobre 2019. C’était un Grand Moment. Quelle force, quelle émotion à circulé parmi nous. Nous avons vécu un moment très fort d’être dans le public à écouter votre voix, ce texte, et le moment d’échanges après entre nous tous dans la salle de théâtre. Un Moment de Grâce. Merci.29Pierre R.Samedi 5 Octobre 2019 à 19:35Le 5 octobre 2019
À la parution de « Qui a tué mon père », j’avais lu cet ouvrage. Hier, grâce à Benoit Olivier, j’en ai pris co-naissance.
Cette lecture médiatisée par un lecteur, ou plutôt un comédien, m’est revenue comme un nouvel objet. Tout neuf. Lecture partagée, puisque nous étions nombreux à la Faïencerie à écouter ce texte, mais à la fois lecture intime, adressée à moi seul. Lecture dont certaines composantes m’ont particulièrement frappé. C’est pourquoi ici, je laisserai le texte de côté pour n’envisager que sa mise en expression.
D’abord, la position centrale et statuaire du lecteur. Son immobilité relative et la retenue, l’économie de ses mouvements portant toute l’expression du corps vers le seul visage. Ah ! Le visage ! Injonction à partager des émotions ! Aussi, n’ai-je à aucun moment été tenté de fermer les yeux comme parfois on s’y autorise dans une lecture. Regards chatoyants du lecteur, regards froids ou soudain animés, regards entendus ou distants, moues hautaines ou complices, muettes prises à parti…
Autre composante, la place dans le continuum de la lecture de la scansion, de la césure, de cette respiration piano, forte, crescendo, sourde, par laquelle celui qui lit invite son auditoire à éprouver, à travers la rupture, l’intensité particulière d’une idée, d’une phrase, d’un mot soudain suspendu. C’est pour moi en particulier ce que le phrasé de Benoit Olivier fait surgir : des pauses mélodiques, des attentes de continuité, des pivots de sens. Introduction de vides, fichage de banderilles, mystères ouverts par un bref silence, interstices par lesquels le lecteur introduit sa propre lecture, risque son propre sens, sépare et relie.
Voilà en quelques mots ce dont je veux témoigner. La force de l’écrit servi par la parole incarnée. Merci, Benoit Olivier ! Et à d’autres rendez-vous !30BenedicteDimanche 6 Octobre 2019 à 13:55Merci de m'avoir permis de découvrir Edouard Louis : Profond, poignant, intime, léger, joyeux et vivant !
L'acteur se dissout, l'écran tombe, une proximité naturelle s'installe, en direct, je suis interpellée, touchée, émue, je me sens vibrer avec l'auteur...31AlandreMercredi 7 Septembre 2022 à 17:10Bonjour. Je cherche une information concernant les droits d'auteur et la lecture à haute voix : pour faire une lecture à haute voix faut-il demander à l'éditeur ou à l'auteur une autorisation et si oui y a t il des frais de droits d'auteur ? Merci-
Jeudi 8 Septembre 2022 à 08:32
Bonjour,
oui, il faut déclarer la lecture. C'est à la bibliothèque, au théâtre ou à l'institution qui organise la prestation, de déclarer.
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